Actuellement en stage chez zanox, je suis entrain de découvrir le marketing d'affiliation. Pour cela j'ai voulu vous expliquer en quoi cela consiste :
L’affiliation, l’une des principales techniques de web marketing, ne se résume plus à une mise en relation d’un webmaster avec un annonceur. Grâce à de nouveaux outils, l’internaute joue aussi un rôle de prescripteur… accompagné d’une rémunération.
Aux côtés de l’email marketing,  de la diffusion de bannières et du search marketing, l’affiliation est l’un des canaux historiques de la publicité online, rendue célèbre notamment par Amazon à la fin des années 90.

Le principe de l’affiliation est simple.
Une plateforme met en relation un site éditeur cherchant à rentabiliser son espace publicitaire, avec un site annonceur souhaitant diffuser des publicités en ligne. La plateforme propose aux deux parties une mise en relation facilitée, une centralisation unique des « kits publicitaires » (bannières, popups, liens textes, emailing, catalogue de produits…),  la gestion des suivis en temps réel, mais également la gestion opérationnelle de la facturation. La plateforme d’affiliation perçoit ainsi une rémunération légitime sur les transactions.
En d'autre terme l’affiliation est une relation partenariale entre un annonceur et des sites Internet, appelé affiliés ou éditeurs, reposant sur le principe de rémunération aux résultats. C’est Amazon qui, en 1997, créa l’affiliation. (Wiki)
L’objectif principal de l’affiliation est d’augmenter la visibilité de l’annonceur en s’appuyant sur un réseau de sites éditeurs afin d’obtenir l’accomplissement d’une action donnée. La particularité de l’affiliation réside alors dans la rémunération de ces éditeurs. En effet, celui-ci est rémunéré en affiliation pour une ou des actions bien précises selon une commission préétablie, soit à la performance (à l’inverse de régie au CPM qui rémunère au volume).

Cette relation a ainsi pour objet de permettre à un annonceur de répondre à une ou plusieurs problématiques marketing de type : recrutement de nouveaux clients, génération de trafic qualifié, ventes, etc.
Pour renvoyer sur son site, l’annonceur (affilieur) fournit à ses affiliés des liens de différentes natures, qu’ils intègrent sur leur site : lien texte, boutons, bandeaux, moteur de recherche, boutiques déportées. Toutes ces intégrations seront trackées via des tag ou tracking qui nous permettent de suivre les actions liées à ces intégrations (affichages, clics, ventes, etc…)

Sources :

http://www.marketing-etudiant.fr/actualites/affiliation-principe-orientation.php

Même pour celui qui se croyait le plus puissant

Ce sont les hommes qui ont provoqué le déséquilibre sur terre lorsqu’ils se sont mis à séparer les peuples par des frontières et s’octroyer "la part du lion" dans la distribution des richesses de Dieu. Et ce sont ces mêmes déséquilibres qui ont entraîné tant de guerre entre les hommes et qui ont creusé un grand fossé entre pays riches et pays pauvres, aujourd’hui pour utiliser des mots politiquement corrects ils utilisent les termes: pays du "Nord" et pays du "Sud".

Les choses ne se limitent malheureusement, pas à la cela. Les pays riches contrôlent aujourd’hui la production et le prix des produits. Prenons le cas des Etats-Unis par exemple. Ses dirigeants octroient aux agriculteurs des subventions pour s’abstenir de cultiver le blé afin de maintenir son prix élevé.

Le Brésil jette, pour sa part, de grandes quantités de café à la mer afin que son prix ne baisse pas. D’autres pays font la même chose avec d’autres produits de première nécessité, tout en sachant que des millions de pauvres dans la planète ont besoin de cette nourriture. Dans d’autres pays, rien n’est fait pour éviter la division de la population, au contraire on distribue des armes pour dominer.

Ces pratiques honteuses n’ont d’autre nom que "la corruption"; comment appeler autrement ce gaspillage inadmissible des bienfaits, cette division pour mieux régner.

Car il existe des pays qui sont plus préoccupés à faire des guerres qu’à développer leur agriculture ou leurs potentialités économiques. Les dirigeants de ces pays sont responsables de la pauvreté de leur peuple et ne les ont « dirigé » qu’à la faillite. Ils ont détruit ce qu’ils étaient censés développer ainsi ils continuent à aggraver les problèmes qu’ils étaient censés résoudre. Ils ont improvisé au lieu d’agir méthodiquement d’une manière réfléchie.

Voilà comment des dirigeants peuvent détruire l’avenir de leurs peuples.

Adri'System, a pour objectif « de répondre à une solution qui se déploie rapidement pour permettre à des équipes dans des secteurs industriels de se coordonner en temps réel à différents niveaux et à distance », explique David HAMON, responsable des projets de la société C2 Innovativ’Systems.

En effet Selon Chantal HOUZELLE, spécialiste du capital-risque et de la biotech, "c’est outil peut également permettre de remonter des informations enrichies telles que des images, des vidéos ou des fiches médicales de manière sécurisée, pour établir un état des lieux précis sur les plans humain et matériel. Cette solution s'adapte aux réseaux de communication disponibles (3G, WiMax) ou mis en place de manière temporaire (Wi-Fi, satellite)".

Egalement appelée « valise d'urgence multimédia », en effet elle explique que tous les composants peuvent se tenir  dans une simple mallette, Adri'System devrait trouver son utilité tant dans le domaine de la protection civile que dans la prévention des risques industriels et environnementaux sur des sites sensibles.

Sources :
http://www.lesechos.fr/info/innovation/4796539-une-valise-d-urgence-multimedia-pour-gerer-les-situations-de-crise.htm

Dédé Ca va couper : Loi Création et Internet

Dans le cas d'une réalisation d'un jeu électronique, d'un site Internet ou d'un cédérom..., il faut une équipe de professionnels dont l’animateur est le chef de projet multimédia. Cet homme orchestre coordonne et encadre une équipe aux compétences multiples pour réaliser le projet multimédia qui leur est confié.

En effet « Si les métiers de l’Internet et du multimédia devaient être comparés à un orchestre, le chef de projet en serait le chef d’orchestre ».  Sa fonction est en effet la plus transversale qui soit puisque sa mission première est de gérer l’ensemble du processus de création du produit interactif, en veillant à faire travailler toutes les fonctions spécialisées de manière coordonnée. Le chef de projet intervient essentiellement dans la phase de création. A la différence du consultant qui intervient avant même le démarrage opérationnel du projet, son rôle est de donner corps au projet.

De nos jours il existe deux types de chef de projets :
1/ Les premiers sont ceux qui exercent au sein des agences de conception de produits multimédia ou de sites Internet : la gestion de la relation client sera alors au cœur de leur travail.
2/ Les seconds, en pleine expansion, sont les chefs de projets qui travaillent directement chez les éditeurs ou au sein des départements dédiés dans les entreprises : ils travaillent alors davantage avec des prestataires, à qui ils vont confier telle ou telle mission et qu’ils seront chargés de piloter.

Selon quelques extraits d'un article de Sabrina LOUFRANI-FEDIDA (doctorante en management ADMEO/CNRS) :
  « Le chef de projet […] est chargé d’assumer la maîtrise d’œuvre du projet ; de veiller à sa bonne réalisation vis-à-vis de sa propre entreprise et du client. Il est en outre responsable des ressources, de leur organisation, de leur utilisation et de l’articulation du projet avec les structures permanentes de l’entreprise. »
Selon Gilles Garel, Vincent Giard et Christophe Midler, trois experts du management de projet, le chef de projet doit mobiliser quatre types de compétence :
-    La compétence instrumentale du pilotage de projet
Une maîtrise minimale des principales instrumentations d’analyse d’un projet et de maîtrise de ses délais et de ses coûts, est nécessaire : analyse fonctionnelle, décomposition en tâches, les outils d’ordonnancement (diagrammes de Gantt, PERT), le contrôle des coûts par la valeur acquise.
-    La maîtrise des champs techniques impliqués dans le projet
Un chef de projet purement gestionnaire ne saurait exister bien longtemps s’il ne peut débattre sur le fond des problèmes avec les acteurs métiers qu’il coordonne. En effet il doit avoir une maîtrise minimale des principales techniques mises en œuvre dans le projet. 
-    La compréhension des spécificités du projet et l’adhésion à ses objectifs
La connaissance fine des éléments historiques d’un projet est une compétence en soi, qui ne s’acquiert que par une participation et une implication du chef de projet de bout en bout.
-    La compétence sociale
La majorité des ouvrages en management de projet insistent sur l’importance des compétences de communication et de leadership du manager de projet.

Ils expliquent avec ces quatre compétences, on peut rajouter la compétence de traduction entre les langages des métiers.

Ainsi, le chef de projet peut être considéré comme un acteur d’interface, qui joue le rôle de facilitateur de débat. On parle également « d’acteur intégrateur », puisque le chef de projet a pour mission de coordonner et d’interconnecter les différentes compétences métiers qui doivent intervenir sur le projet.

Sources :
http://www.netpme.fr/travail-entreprise/737-competences-requises-chef-projet-ideal.html

Les CMS ou systèmes de gestion de contenu, ou SGC (de l’anglais Content Management Systems ou CMS), sont une famille de logiciels de conception et de mise à jour dynamique de site web.
Egalement nommés progiciels de gestion du contenu (PGC), ces systèmes permettent de gérer le contenu des sites web qu’ils administrent sans avoir écrire de code HTML ni utiliser d’outil de développement.

Ainsi avec le CMS; les applications multimédias se partagent les fonctionnalités suivantes :

* Ils permettent à plusieurs individus de travailler sur un même document ;
* Ils fournissent une chaîne de publication (workflow) offrant par exemple la possibilité de publier (mettre en ligne le contenu) des documents ;
* Ils permettent de séparer les opérations de gestion de la forme et du contenu ;
* Ils permettent de structurer le contenu (utilisation de FAQ, de document, de blog, forum de discussion, etc.) ;
* Certains SGC incluent la gestion de versions.

CMS et Communauté de travail
En effet la plupart des projets CMS libres fonctionnant sur le Web proposent de créer des forums associés aux articles pour laisser les visiteurs réagir. Ils sont la base du succès des sites de nouvelles en fil. Car les commentaires des internautes peuvent apporter eux-mêmes une valeur ajoutée à l’information, la scindant en deux blocs :

- L’information institutionnelle, qui apporte ce qui peut être émis par une source dite de confiance ;
- L’information officieuse qui, par un mécanisme de retour, permet d’obtenir : la validation, la correction, la discussion d’une information, et son enrichissement par tout lecteur.

Le commentaire fait évoluer les outils logiciels d’édition (destinés à la simple diffusion d’information) vers des outils de communication. En effet, la communication est bilatérale, à la différence de l’information, unilatérale.

Sources :
Wikipedia

Nous avons vu à travers l’article « Contexte du e-Business, l’ERP et ses bienfaits » datant du 05 novembre 2008 publié sur le blog; les bienfaits de l’ERP. Or force de constater que à travers ces avantages, la mise en place d’un ERP peut avoir des inconvénients.

En effet les progiciels de gestion intégrés permettent à l'entreprise une meilleure maîtrise de ses activités de production. Car ils permettent une meilleure optimisation de l'utilisation des ressources, qu'elles soient humaines ou matérielles. Le PGI induit donc une orientation stratégique vers la réduction des coûts comme vecteur essentiel de la création de valeur donc de la croissance de l'entreprise. Ce modèle est critiqué depuis le début des années 1990 car il met l'entreprise au centre de l'attention, au détriment du client.

Dans un texte de G. Valenduc et P. Vendramin "Les progiciels de gestion intégrée : l'engouement et les risques", les auteurs soulignent les craintes de la mise en place d’ERP. 
Ils expliquent :
« D'une part, le potentiel de rationalisation et d'élimination des tâches administratives et comptables semble énorme, bien au-delà des performances des systèmes existants.
D'autre part, l'envergure de ce type de logiciel est impressionnante : pas grand-chose ne lui échappe dans l'entreprise. Celle-ci ne devient-elle pas tout à fait dépendante et vulnérable ? »

Ils poursuivent leur explication:
Sans oublier les impacts sur l'emploi, car la diffusion des ERP suscite, souvent, une certaine inquiétude chez les travailleurs et les syndicalistes. Cette inquiétude est fondée sur le fait que les ERP éliminent de nombreuses tâches administratives, comptables et de supervision.
Or les craintes des travailleurs ne concernent pas seulement l’emploi. Elles portent aussi sur la qualité du travail.
Ils en déduisent que les ERP favorisent un regain des méthodes dérivées du taylorisme : standardisation des procédures, codification des opérations, parcellisation des tâches, séparation entre conception et exécution, accroissement du contrôle exercé sur le travail et du stress au travail.

Ainsi l’ambivalence de l’ERP, son double visage, montre que cet outil de progiciel peut avoir la fâcheuse tendance de tomber du mauvais côté. En clair, l’outil est capable du meilleur comme du pire!

Sources :
http://www.idate.fr/fic/revue_telech/552/C&S37_VALENDUC_VENDRAMIN.pdf
http://www.journaldunet.com/solutions/0405/040514_tribune.shtml

"Les Serious Games, ces logiciels basés sur les technologies des jeux vidéos, et qui permettent d'apprendre, de s'entraîner ou encore de tester les compétences et les connaissances", la définition ne vient pas d'un chercheur, d'un concepteur de jeux vidéo, ou d'un formateur, elle émane du discours tenu par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche lors de son discours aux Assises numériques le 29 mai 2008.

Un Serious game (de l’anglais serious, « sérieux » et de game, « jeu ») est une application informatique qui combine une intention sérieuse, de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement avec des ressorts ludiques issus du jeu vidéo ou de la simulation informatique. Plusieurs domaines sont concernés comme: la santé, la défense, l’administration, les sciences et recherche, la sécurité civile, les entreprises, la formation.

Le SG semble avoir déjà acquis une certaine notoriété et on ne peut nier que ce type d'application suscite de l'intérêt tant auprès des chercheurs, que des concepteurs de jeux vidéo et des formateurs en e-learning etc. Dans ce contexte, les entreprises organismes de formation, des développeurs de jeux vidéo décident elles aussi de se lancer sur ce marché émergent. Ces acteurs sont cependant confrontés à articuler des dimensions technologiques, ludoéducatifs et stratégiques pour déterminer les dispositifs capables de favoriser le développement de ce marché.

En effet lors de notre enquête réalisée par en master MIC1 promo 2008, nous avons noté que les Serious Games se révèlent être un outil d’apprentissage et d’expérimentation dans plusieurs domaines qui touchent les métiers mais aussi les formations liées au management au sens large du terme.
Car ils suscitent la notion de plaisir à travers une approche ludique mais au-delà de cette dimension, il s’avère répondre à des formes d’apprentissage impliquant soit la résolution de problème, le changement de comportement, l’immersion dans une situation concrète mais nous notons qu'il est difficile de reproduire dans la réalité présente, la participation à une activité de groupe.

Sources :
http://www.gameconsort.com/
Rapport d'enquête en Master 1 : Peut-on apprendre en jouant ?

         Entre l'entreprise et ses clients (Business To Consumer, B2C), Dans l'entreprise avec les salariés (Business To Employees, B2E) et entre entreprise et ses fournisseurs (Business To Business, B2B). Appelé souvent "e-Business" L'accès des entreprises aux nouvelles technologies, à Internet en particulier, tend à modifier la communication entre les différents acteurs du monde des affaires, en l'occurrence avec les Progiciels de Gestion Intégré (PGI) ou Enterprise Ressource Planning (ERP).

un ERP est un progiciel qui permet de gérer l'ensemble des processus d'une entreprise intégrant l'ensemble de ses fonctions comme la gestion des ressources humaines, la gestion financière et comptable, l'aide à la décision, la vente, la distribution, l'approvisionnement, la production ou encore du e-commerce.

Les ERP sont caractérisés par des bases de données partagées entre toutes les fonctions de l'entreprise (Base de données produits, clients, fournisseurs, etc.), et par des applications paramétrables. Ces applications sont supposées formaliser "les meilleures pratiques" sectorielles ou fonctionnelles; elles sont accessibles au travers d'interfaces hommes/ machines homogénéisés.

Un ERP peut se définir comme un puissant outil de rationalisation car : « Les fonctionnalités d’un progiciel ERP sont nombreuses et peuvent comporter des variantes. Leur base commune est la tenue d’une comptabilité analytique en temps réel, pour des entreprises ou des organisations qui comportent de nombreux départements et sites différents, utilisant éventuellement des procédures comptables non uniformisées. Les ERP proposent également une standardisation des procédures administratives de tous les départements d’une entreprise et la constitution d’un système unique de données de référence.

Les ERP de dernière génération s’attaquent non seulement à la gestion interne d’une entreprise, mais aussi à la gestion de ses relations externes. Ils assurent ainsi la gestion automatisée de la chaîne d’approvisionnement, y compris les liaisons avec les systèmes informatiques des fournisseurs et des sous-traitants. De même, ils automatisent la gestion de la chaîne de commercialisation, en intégrant dans le système de l’entreprise les données provenant des distributeurs et des clients.

Les progiciels de gestion intégrés permettent à l'entreprise une meilleure maîtrise de ses activités de production. Le paradigme sur lequel ils se basent repose essentiellement sur une optimisation de l'utilisation des ressources, qu'elles soient humaines ou matérielles. Le PGI induit donc une orientation stratégique vers la réduction des coûts comme vecteur essentiel de la création de valeur donc de la croissance de l'entreprise.

Sources:
http://www.fing.org/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=312-
http://fablain.developpez.com/tutoriel/presenterp